Archives de l’auteur : Thomas

Lecture et atelier d’écriture à La zone du dehors, 28 sept 2016

Mercredi 28 septembre 2016 -Stop-
j’entre dans La Zone du dehors– Stop-
pour une après-midi entière autour des mots- Stop-
turbulences d’écriture prévues à 15h- Stop-
de 6 à 12 ans- Stop.
ce sera autour de « Dans ma maison » publié à La maison est en carton

Puis à 18h, avec Gilles Abier nous partagerons, au même endroit,
un moment de lectures et de dédicaces.

zone-dehors

La zone du dehors
68 cours Victor Hugo
33000 Bordeaux

http://facebook.com/lazonedudehors
contact@lazonedudehors.fr
+33 9 82 23 27 78

La librairie Lucioles fêtes ses 40 ans !

La librairie Lucioles de Vienne (Isère), fêtes ses quarante ans, les 23 et 24 septembre 2016.

Je serai présent, avec L’atelier du trio, le samedi 24 septembre 2016, à la médiathèque Le Trente de Vienne pour une rencontre sur « LA LITTERATURE ADO : POURQUOI ? COMMENT ? »
En compagnie d’Axl CENDRES, auteure de Dysfonctionnelle, Prix Lucioles Junior 2016 et de Valérie ZENATTI, auteure aux multiples casquettes et Prix du Livre Inter 2015.

Après une lecture à voix haute par  L’atelier du trio, tous les auteurs échangeront au cours d’une table ronde animée par les jurés du Prix Lucioles Junior.
De 15h à 17h, Salle de l’Auditorium
Médiathèque Le Trente

30 Avenue Général Leclerc, 38200 Vienne
luciolesDédicaces à l’issue de la rencontre
Télécharger le programme complet des festivités.

Librairie Lucioles
13-15 place du Palais
38200 Vienne
Tél : 04 74 85 53 08

Dans les petits papiers de…

Parce que pour l’été, rien ne vaut une chemise à pois et les cheveux au vent…
C’était aux Escales du livre 2016 de Bordeaux, rencontres et réactions d’enfants, discussion autour de l’écriture, plus un grand invité surprise !
Merci à La Charte des auteurs pour ce portrait.
Merci à Nicolas Pradère et Lisa Verdiani pour la journée passée à tourner les images.

Nouveauté, nouveauté, nouveauté !

Après « La vie encore » et « Comme un sourire qui flotte »
c’est maintenant :  Libres d’être

libresthomas

Un projet partagé avec Cathy Ytak.
Deux textes enchâssés, deux époques différentes, le même questionnement :
celui de l’égalité.

Alors c’est une voix d’homme, de père d’aujourd’hui.
Un tremblement pour ses filles…

« Parce que la rage s’est imposée, même pas enfantée de mes cauchemars prévus.
Elle, celle-là, Elle, je l’aurai apprivoisée.
D’un coup d’oreiller, renvoyée dans ses cordes.
Non, c’est une rage de plus loin, d’images abreuvées, de parole libérée mais sans filtre, de réflexions sauvages et de mauvais regards surpris dans les rues, de dégout, de malaise, les petites violences quotidiennes, les humiliations entendues si souvent quand une éducation familiale m’avait emmené si loin, à mille lieues du sexisme conquérant…
Alors c’est la rage de ce que je ne comprends pas, de ce qui ne peut s’imprimer ni dans mon corps, ni dans mon cerveau, cette impression d’impuissance face aux habitudes des lâches et l’acharnement.
Celui d’un sexe autoproclamé pour écraser l’autre. »

Et c’est une colère de femme, en 1909.
Une voix pour son indépendance.

« Et moi j’étouffe, j’étouffe, maudit corset, maudit siècle.
Je ne me mettrai pas à genoux ! Je crains aujourd’hui davantage la bêtise des vivants que les foudres de l’enfer.
Ah… s’ils pouvaient rester chez eux à s’occuper de leurs affaires avec ceux et celles qui le désirent en leur âme et conscience, et qu’ils cessaient enfin d’imposer leur vision du monde à ceux qui n’en veulent pas !
Et qu’ils arrêtent de décider de tout à la place des femmes, quand il serait temps, pour eux, de penser avec elles en bonne intelligence… »

Puis le père, à nouveau…
«Alors, peut-être est-ce vous qui avez raison.
De ne pas trembler, de ne pas douter d’une grande égalité à venir.
Comme le calme sourit toujours à la douce heure. »

Ici, il n’y a aucune réponse,
seulement des convictions.

Libres d’être
De fibres entremêlées, Thomas Scotto
Paris 1909, Et si ma maison brûle, Cathy Ytak
Images Thomas Scotto.
Editions du Pourquoi pas ?

Bande-annonce de Libres d’être

Crédit photo. T.S
Sculpture Carole Chaix.