Archives de catégorie : Actualités éditoriales

2016 et une Nouveauté…Nouveauté…Nouveauté

Un éléphanteau un peu lent, une hyène aux envies voraces d’argent et de reconnaissance… et c’est la fabrication d’une star de la peinture en un coup de voiture décapotable !
anton

C’est surtout un projet d’île…
J’entends par là que sur l’île d’Aix se déroule un salon du livre
où j’ai rencontré Domas qui a dit « Chiche » ?
Une BD pour les petits.
Un texte tout nouveau quand la collection reprend plutôt les contes traditionnels.
Un conte traditionnel d’aujourd’hui, donc.

L’album est divisé en trois parties : tout d’abord une BD sans texte, puis un cahier pour apprendre à dessiner les personnages et le conte. Trois façons d’entrer dans une histoire.

Le dessin de Domas est terriblement efficace pour exprimer, sans mots, l’histoire inventée. Anton est plus qu’attachant. De ses gestes maladroits à sa métamorphose d’éléphant populaire…Il y a les planches d’une Mégaville que j’aime particulièrement, celles d’une famille aussi.

Merci à Domas, à Christian Lerolle pour les couleurs, et à Bamboo pour l’édition.

Anton l’éléphant peintre
Illustration Domas
Conte Thomas Scotto
Couleurs Christian Lerolle
Bamboo Editions

Nouveauté…Nouveauté…Nouveauté

Il est arrivé dans la boite aux lettres…
Comme une promesse de délicatesse…
Avec un ruban rouge a déplier…
Avec le talent, les matières, les couleurs et l’ingénierie papier d’Arno…
Arno que je remercie en pop pup de m’avoir proposé ce projet… à Benjamin des Apprentis rêveurs qui m’a fait confiance…
À construire…il tremble de se réveiller…
Ce « tout petit point »…Précieux.
un-tout-petit-point
carroussel
« Un tout petit point » (livre carrousel à construire)
Pop-up Arno Célerier
Texte Thomas Scotto
éditions Les apprentis rêveurs

Kodhja, nouveauté !

« Et le garçon suivit l’enfant.
Marche après marche.
Vers le sommet.
Longtemps.
Jusqu’à ce que le vent caresse ses cheveux et froisse sa tunique. Il prépara alors ses yeux à la lumière, mais ce qu’il découvrit une fois parvenu au plus haut du mur lui glaça le sang.
Kodhja était un labyrinthe… »

Il est gigantesque !
Mon plus grand livre, assurément !
Exactement à la taille des rêves que j’y glissais en écrivant le texte… il y a longtemps.

J’ai toujours aimé les labyrinthes, je ne suis pas le seul.
Pour leur graphisme complexe et envoûtant, pour ce qu’ils évoquent de métaphores, bien sûr, pour un souvenir de David Bowie en coiffure improbable et des marionnettes de Jim Henson. (L’inspiration aussi a son lot de méandres !)

D’abord une pièce de théâtre scénographiée par l’ami de talent Gingolph Gateau,
C’est aujourd’hui une B.D… un immense album graphique… et ce que le lecteur en fera.
C’est surtout le regard du tout aussi grand Régis Lejonc
On se croise depuis longtemps, dans sa bande de Bordeaux, dans la nôtre de Paris, sur les salons du livre.
Et beaucoup savent déjà ses talents multiples : au pastel, à l’ordinateur, en créateur de collections, en Dessinant pour des soirées de lectures, sa générosité et son enthousiasme… et nous voilà dans une même aventure ? !!
Je lui dois l’idée même de cette forme B.D, d’autres trouvailles pour éclairer mon histoire, la rendre encore plus mystérieuse. Merci !

Un merci de géant, aussi, à Angèle Cambournac et Thierry Magnier d’y avoir cru, d’avoir marché jusqu’aux portes de Kodhja pour le faire naître. Il fallait que l’objet soit beau, que le papier donne envie de caresser le chemin des pages, que l’impression soit fidèle aux couleurs réfléchies… c’est chose faite !

« L’enfance sait ce qu’elle veut. Elle veut sortir de l’enfance. » Jean Cocteau.
kodhja

Kodhja
Texte : Thomas Scotto
Ilustrations : Régis Lejonc
Editions Thierry Magnier, 2015.

Ce que la presse en dit…

« Le grand écart », nouveauté !

Écrire, c’est être en aventure, souvent.
Un chemin personnel qui rencontre d’autres enthousiasmes.

Lucie Albon est sur la route de tant de délicatesses, de tant d’écoutes et d’espiègleries,
de dessins aux doigts à ses grandes fresques de quartiers,
que c’était déjà souriant d’envisager la possibilité d’un projet ensemble.
Elle s’est emparée du texte de ce « Grand écart », y a glissé un regard de voyage…

Floriane Charron a fait ses armes chez plusieurs éditeurs.
Puis elle a voulu sa propre maison.
Une petite maison, peut-être, mais à taille Diplodocus !

Toutes deux se sont rencontrées,
tous les trois nous nous sommes trouvés…
Et voilà,

« Je suis Anya.
Et ici, tout autour,
ce n’est pas ma ville normale. »

Dites….
Vous voulez bien nous tenir la main… pour ce premier « Grand écart »… ?

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« Le grand écart »
Texte : Thomas Scotto
Illustrations Lucie Albon
Editions Le diplodocus.

Présentation de l’éditeur