Des « Mur-mures » en NOUVEAUTÉ…

Avec Lucie Albon et les Éditions du Diplodocus,
nous avions réussi « Le grand écart » en 2015…
L’histoire d’Anya qui arrivait dans un nouveau pays et sa bataille intérieure pour l’apprivoiser.

Aujourd’hui,
c’est une envie de « Mur-Mures » que nous vous proposons.

« Mur-mures », ce sont d’abord les collages immenses de Lucie sur les murs du 4ème arrondissement de Lyon. Une petite fille en plein cœur de la ville. Tout est né de ces images-là. Les fresques de Lucie sont déjà tellement des chemins d’histoires…

Photographiées par Matthieu Perret dont j’aime le regard, j’ai eu la chance de choisir l’ordre d’une déambulation.

Alors « Mur-mures » est rapidement devenu une longue phrase de poésie qui serpente sous le regard de cette fille de papier. Sait-elle seulement comme elle embellit le béton ?
C’est un chant de liberté qui se chuchote de rues en rues avant de s’affirmer vraiment, la possibilité d’être au dehors ce que l’on est sous notre épiderme.
Et nous pouvons être tellement.

Je suis tellement heureux de retrouver Lucie ou plutôt, que Lucie m’ait retrouvé !
C’est une jolie confiance de m’avoir prêté quelques façades de son art.
Merci à Floriane et Matthieu du Diplodocus !
L’objet livre doit être pensé jusqu’au bout et là… il l’est.
Adorable entre les mains, piquant d’un rose impressionnant… il a quelque chose d’une boîte à secrets.
À l’intérieur se cache une grande vérité et une petite fille à qui donner confiance.

Mur-mures
Textes Thomas Scotto
images Lucie Albon
editions Le Diplodocus.